Que savons-nous sur les millions de personnes qui travaillent dans le secteur non lucratif au Canada? Ce rapport – qui dresse le profil détaillé des travailleur.euse.s du secteur, y compris sur le plan démographique et des salaires – révèle que la main-d’œuvre des OBNL est très différente de l’ensemble de la main d’oeuvre canadienne.

Les organismes de bienfaisance et OBNL tentent de pallier certains des problèmes les plus épineux de notre société. Parmi eux, la pauvreté, l’itinérance, la dépendance, la santé mentale et la dégradation de l’environnement. La solution de ces problèmes passe nécessairement par l’innovation et des changements systémiques.
 
Les universités représentent des partenaires à grand potentiel pour les organismes qui cherchent à innover. En effet, on compte de nombreux exemples de collaboration entre les milieux universitaire et communautaire couronnée de succès. Toutefois, dans ces partenariats, « l’universitaire » l’emporte souvent sur « le communautaire ».
 
Les auteurs de ce rapport mettent en lumière l’intérêt du secteur pour l’innovation et les facteurs qui influencent sa capacité d’innover. Ils avancent qu’il est grand temps de créer des partenariats universitaires-communautaires ancrés dans la réciprocité et une véritable collaboration afin d’innover réellement et d’amener des changements systémiques.

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