8 novembre 2021 | 14 h 30 à 15 h 30
Le financement est une préoccupation importante pour tous les organismes de bienfaisance et à but non lucratif, mais certains organismes connaissent des difficultés disproportionnées pour accéder aux ressources. Les organisations communautaires sans statut de bienfaisance se heurtent souvent à des obstacles réglementaires pour accéder aux dons en argent. Les organismes caritatifs dirigés par des Noirs et par des Autochtones subissent un sous-financement chronique, tandis que les organismes caritatifs musulmans redoutent la partialité des vérifications de l’ARC. De nombreuses personnes croient que le contingent des versements – le montant que les organismes de bienfaisance doivent dépenser chaque année sur leurs propres activités de bienfaisance ou en faisant des dons à des donataires reconnus – devrait être augmenté afin de mieux financer les communautés pour lutter contre les iniquités solidement enracinées.
Grâce aux efforts inlassables de nombreux organismes, ces questions prennent de l’importance au niveau fédéral et, pendant l’élection de 2021, elles sont apparues sur les programmes des partis. Maintenant que le 44e Parlement doit reprendre ses travaux, nous organisons une table ronde virtuelle, de 14 h 30 à 15 h 30 HAE, le 8 novembre, sur le potentiel de changement, les obstacles auxquels les efforts de réforme pourront faire face et comment le secteur à but non lucratif peut mettre en avant des solutions à ces iniquités du financement. Les panélistes sont les suivants :
- Liban Abokor, Youth Leaps et Fondation pour les communautés noires
- Candies Kotchapaw, Developing Young Leaders of Tomorrow Today (DYLOTT)
- Nadia Hasan, Conseil national des musulmans canadiens
- Jess Bolduc, 4Rs Youth Movement
Cet événement est organisé par le Réseau pour l’avancement des communautés noires, Fondations communautaires du Canada, The Circle on Philanthropy and Aboriginal Peoples, la Fondation canadienne des femmes et Imagine Canada. Une interprétation simultanée en français sera disponible, ainsi qu’un sous-titrage en anglais.