La main-d’œuvre des OBNL et la réalité d’immigration, avec Debbie Douglas
Dans ce nouvel épisode de notre balado, nous accueillons avec gratitude Debbie Douglas, directrice générale de OCASI (Ontario Council of Agencies Serving Immigrants) pour parler de la main-d’œuvre dans le secteur caritatif sous l’angle de l’immigration.
Selon des données nationales publiées par Statistiques Canada et analysées par Imagine Canada pour dégager des tendances en matière d’emploi dans le secteur caritatif, les employé.e.s y sont deux fois plus susceptibles d’être des femmes immigrantes. Qui plus est, la moitié de tous les emplois occupés par des femmes immigrantes se trouvent dans notre secteur. Autrement dit, les organismes de bienfaisance et OBNL, qui comptent quelque 2,4 millions d’employé.e.s, sont les plus importants employeurs de femmes immigrantes au pays, et de loin.
Certes, la contribution des personnes immigrantes à notre secteur est une source de fierté et une raison de célébrer. Mais on doit reconnaître que beaucoup d’entre elles y travaillent non par choix, mais par manque de choix. Notre secteur est un employeur important pour ces populations, mais peut-être pas pour les bonnes raisons.
Les résultats de l’étude sont au cœur de notre discussion avec Debbie. Nous demanderons aussi ce que les OBNL, les gouvernements et les employeurs dans d’autres industries peuvent faire pour améliorer les conditions de travail des personnes immigrantes et pour réduire les barrières qui se dressent devant elles sur le marché de l’emploi.
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